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DE LA PERCEPTION DES ODEURS QUOTIDIENNES A L'OLF-ACTION. 

ETUDE DE CAS A PEKIN, BOMBAY, RIO DE JANEIRO, SAO-PAULO ET NICE 

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Thèse soutenue le 26 avril 2021 à Nice sous la direction de Joël Candau

 

Suggéré par le néologisme olf-action, l’enjeu de ma thèse est de montrer que la perception olfactive n’est pas seulement une saisie passive de notre environnement, mais un vecteur actif de nos vies à l’échelle individuelle et collective. L’odeur n’est jamais de prime abord une représentation figée, mais toujours une pratique qui s’articule par le mouvement, l’action et la transformation.

En nous penchant non plus sur l’odeur identifiable comme objet-source (ou comme rappelant l’objet-source) mais comme engagement de la vie quotidienne, nous substituons ainsi le contenu (que sens-tu ?) à l’acte olfactif (que fais-tu quand tu sens ?). 

La ville, lieu d’ambiances et de déplacements, est une référence privilégiée pour appréhender l’odeur et multiplier ses approches. L’olfaction ne discrimine pas seulement les odeurs d’une ville mais constitue des repères topokinésthésiques au point que le sens de l’odorat devient sens de l’orientation dans l’espace urbain.

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Mots clés

Ambiances, anthropologie du sensible, anthropologie urbaine, apprentissage, écologie de la perception, écologie sensorielle, éducation, ethnologie, entretien d’explicitation, espace, étude comparative, étude multi-située, habitat, habitus, olf-action, phénoménologie, phénoménographie, polysensoriel, sens pratique, savoir-faire tacite, urbain, urbanités, territoire, ville

Ma thèse ici

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